RENCONTRES HASARDEUSES
RENCONTRES HASARDEUSES
« OKUS FOKUS » « OKUS FANTASMA »
#videomapping #videography #choreography #dancer #movementmaking #MovementMethod
«RENCONTRES HASARDEUSES … AMBIANCE LYNCHIENNE. »
La DH Huy Waremme, JEUDI 6 MAI 2010, Sandrine GEUQUET
Description :
Rencontres Hasardeuses est la 1er pièce vidéo-chorégraphique de OKUS LAB. C’est la rencontre de quatre personnages… Une confrontation dans un monde qui flotte entre la réalité et le rêve.
Et c’est aussi grâce à l’alchimie qui va s’ériger entre les personnages, que la manipulatrice apprentie va
finir confrontée à la solitude. Solitude, qui représente également une certaine note de libération.
Durant le périple de trente minutes de cette fresque chorégraphique amplifiée du jeu d’acteurs et de
mime de ces personnages puissants, le spectateur sera plongé dans divers univers relevé par ces différentes atmosphères scéniques amenées par la musique, les ambiances sonores, et les vidéos, pour
aboutir, peut être, sur un questionnement personnel.
Cette pièce a pour but de provoquer le questionnement sur « l’expérience » et également l’aboutissement
de l’expérience personnel et social de notre identité. »
“Rencontres Hasardeuses”, analyse d’après le livre de Patrice Pavis. Analyse de DAVID OTTEN , 2011
« … visant à la diversité et au remaniement des genres et des supports dans le but de produire des œuvres hybrides laissant UNE EMPRUNTE VISUELLE et SENSORIELLE.»
« Au final, Rencontres Hasardeuses est, à n’en pas douter, une représentation placée sous le signe de la mixité: mixité des musiques, des costumes, des médias, des postures ou de la gestuelle, le tout s’alliant pourtant parfaitement au service d’une volonté de renouveau… »
DUALITE DES MONDES TEINTEE DE SUREALISME, dans un univers ENTRE DANSE HIP HOP et DANSE CONTEMPORAINE, cela au profit de la passion violente du hasard. »
Observation :
Au final ce spectacle est un laboratoire à ciel ouvert dans lequel les protagonistes peuvent DÉVELOPPER LEUR IDENTITÉ CHORÉGRAPHIQUE ET LEUR PERSONNAGE FANTASMAGORIQUE. Le mythe du savant fou est né.
D’un point de vue chorégraphique l’utilisation de l’improvisation, la focalisation du regard dans le mouvement et la recherche de son identité sont LES PRÉMICES À LA FORMULE MAGIQUE « OKUS FOKUS » qui naîtra par la suite.
Ce projet EFFACE LES FRONTIÈRES ENTRE LA DANSE URBAINE ET LA DANSE CONTEMPORAINE.
D’un point de vue vidéographique, Manu Di Martino l’utilise avec la contrainte suivante : la vidéo est projeté comme seule source de lumière et sert a dédoubler la réalité et les danseurs, une ouverture sur une fenêtre imaginaire, surréaliste et schizophrénique. Les mouvements de la vidéo et des danseurs sont parfaitement synchronisés. c’est la 1er expérience d’HYBRIDATION et de synergies entre LA DANSE, LE VIDEO-MAPPING ET LA CONCEPTION LUMIÈRE. LA FORMULE « OKUS FANTASMA » EST NÉE.
Distribution :
Manu Di Martino : Chorégraphe /danseur /vidéaste
Nono Battesti: Chorégraphe et danseur
Sylvie Planche : Chorégraphe et danseuse
Mylena Leclercq: Chorégraphe/ danseuse
PARTENAIRES : Avec le soutien du Théâtre de la Place, du Centre Culturel de Waremme et de Artendance Spectacle présenté en “avant première” lors du Festival “Pays de Danse 2010” (Liège, Grand Manège)
